La dernière partie de l’exposition montre l’importance d’Abd El-Kader, qui a su associer le spirituel et le temporel sans jamais s’opposer à la modernité. Contrairement à pas mal d’intellectuels de son temps, il ne craint pas la photographie. On lui reconnaît même un certain art de la pose dont il se sert volontiers.
Une commande artistique auprès de l’artiste Amina Menia permet de conclure l’exposition par une sculpture baptisée « Material for a landscape » Fragment de mur de soutènement, l’œuvre symbolise les tensions mais aussi l’effort pour construire, bâtir soutenir un projet d’unification.
Le Petit Plus : Tout au long de l’expo des QR codes permettent d’accéder à des documents sonores, poèmes. Des podcasts autour de l’expo ainsi qu’un petit journal sous forme d’enquête permettront aussi une approche plus ludique de l’expo. Enfin de nombreux événements (lecture de Benjamin Stora et Nina Bouraoui, concert d’Acid Arab, etc) rythmeront toute la durée de l’exposition.
Par Eric Foucher
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