Et si l’hôtel du futur ne se limitait plus à offrir un lit et un petit-déjeuner ? À Marseille, la Villa Massalia est devenue la Villa M, un nouveau concept hôtelier qui dépasse les standards habituels de l’hospitalité. Il fait de la santé globale un art de vivre, dans un lieu chaleureux, élégant et profondément ancré dans son territoire.
Dans un milieu devenu ultra concurrentiel, pas facile de sortir du lot. C’est pourtant ce qu’on décidé de faire le Groupe Pasteur Mutualité en créant un groupe hôtelier à la philosophie unique conçue par Thierry Lorente et Amanda Lehmann. Après Paris, c’est dans les quartiers sud de Marseille que s’est ouvert le deuxième établissement.
En s’appuyant sur l’image du plus célèbre de nos chimistes, Villa M a décidé de réinventer l’hospitalité par la santé et le bien-être. Ceci explique la présence du fameux caducée au fronton de l’établissement, clin d’œil aux vertus thérapeutiques qu’est censé apporter un séjour dans l’établissement.
La Villa M se veut plus qu’un simple hôtel. C’est un lieu où l’on vient autant pour se reposer que pour se ressourcer, travailler autrement, pratiquer une activité physique ou partager un moment convivial.
À côté de la mer, du parc Borély et de l’hippodrome, elle ne pouvait guère trouver meilleur décor pour une parenthèse de bien-être.
Si le bâtiment aux allures de néo-temple grec kitsch n’a pu être modifié, l’aménagement et la décoration ont été totalement repensés par les architectes Friedmann & Versace.
L’inspiration ? Les bastides provençales, les matériaux nobles, les couleurs chaudes (terre de sienne, ocre) et les savoir-faire locaux qui rappellent l’art de vivre du Sud.
L’édifice abrite 140 chambres et suites ainsi que de vastes espaces communs baignées de lumière, dans une atmosphère à la fois solaire et feutrée.
Rien n’est laissé au hasard. Pas même les tenues du personnel, fruit d’une belle collaboration avec la marque Lacoste.
Le restaurant s’ouvre sur une vaste terrasse face à l’hippodrome avec pas moins de 160 couverts au total.
Aux fourneaux, le chef Nicolas Brenier, enfant du pays, livre une cuisine d’auteur, sensible, en hommage aux femmes de sa vie — sa mère, ses grands-mères.
Une carte locale, de saison, conviviale qui privilégie les fournisseurs locaux (huiles de la Maison Estoublon, café Richard et desserts des Bricoleurs de Douceurs).
Un menu qui change trimestre en s’appuie sur des grands classiques, brillamment exécutés lors de notre déjeuner estival : panisses, salade burata, vitello tonato, salade césar, poulet cuisson basse température, pâtes au pistou et autres réjouissances pour des tables de partage.
Les estivants apprécieront particulièrement le service continu afin de pouvoir improviser leur journée sur toute la longueur.
Le bien être par un sommeil réparateur, une bonne nutrition mais aussi une harmonie du corps.
Ici, le sport n’est pas un défi mais une source d’énergie douce et consciente.
Villa M accueille un espace sport-santé de pointe – avec un partenariat exclusif avec pour le spa avec Deep nature, des équipements premium et un accompagnement personnalisé.
Des programmes variés — boxe, fitness, cryothérapie, activités douces — y sont proposés, dans une démarche exigeante mais inclusive pour les hôtes comme pour une clientèle extérieure.
Avec ses 1000 m² d’espaces modulables, Villa M est un acteur majeur de l’événementiel à Marseille. Mariages, séminaires, lancements, dîners ou galas prennent place dans des lieux d’exception.
C’est aussi un lieu kids-friendly avec plusieurs gaming-rooms pour occuper vos charmants bambins pendant votre partie de boules mais aussi dog-friendly avec un kit canin qui vous sera remis pour votre compagnon à quatre pattes. Le lieu s’anime aussi en soirée une fois par semaine (voir programmation sur le site)
Le Petit Plus : Dirigée par Steeven Hameeuw, hôtelier passionné, la Villa M Marseille s’inscrit dans un projet social fort. En lien avec l’association Horizon, la piscine de l’hôtel est ouverte aux enfants du quartier pour apprendre à nager, mais aussi aux mamans, dans une logique de partage et d’inclusion.
Par Eric Foucher / Texte et photos
