« Pour toutes les femmes et pour chacune d’entre elles ». C’est le motto qui a conduit Cedric Sarpi à créer à Marseille la marque de maillots de bain BlueLobster, il y a vingt ans. La dernière collection « Pépette » célèbre l’anniversaire d’une marque qui a compris depuis ses débuts que chaque corps de femme est différent.
C’est au retour d’un voyage au Brésil en 2003 que Cédric Sarpi crée la marque BlueLobster. Il a derrière la tête l’idée de proposer aux femmes des maillots de bain qui s’adaptent à toutes les morphologies en pouvant choisir la taille des hauts et des bas séparément, et à toutes leurs envies en pouvant mixer couleurs unies et imprimés.
Vingt ans après, le succès ne se dément pas. La marque compte maintenant 7 boutiques en propre dans la région : Marseille (Terrasse du port), Cassis, Sanary, Bandol, Cavalaire, la Lavandou, Sainte Maxime) mais aussi plus de 100 points de vente en France.
Cédric Sarpi dessine ses maillots à Marseille et les fait produire en Tunisie. Il se fait fort de proposer des produits soignés et de qualité, au juste prix.
Pour cet anniversaire, la marque a ressorti des modèles à succès (esprit rétro) et des imprimés iconiques (aztèques) qui ont fait son succès mais aussi lancé une nouvelle collection baptisée « Pépette ». Un nom affectueux et populaire que l’on emploie régulièrement dans le Sud, d’ordinaire accompagné du qualificatif « jolie » pour désigner une jeune fille « charmante » (prendre l’accent et laisser traîner la voix s’il vous plaît).
Pour la petite histoire, « Pépette » est aussi le nom de la Fiat 500 collector du boss, avec laquelle il aime cruiser sur le littoral. Une certaine idée de la Dolce vita marseillaise donc, où s’exprime la joie de vivre et la bonne humeur.
En photographiant ses modèles au Cercle des nageurs face à la mer, Cédric Cédric Sarpi a voulu rendre hommage à Marseille où est né et a grandi son projet.
L’objectif de BlueLobster est maintenant de développer une collection textile et de beachwear (pour l’heure elle ne produit que des paréos) et d’exporter ses maillots en Europe du Nord mais aussi Amérique du sud, d’où est venue l’inspiration.
Par Eric Foucher