Pédaler sans effort, sans vitesse à passer et en toute sécurité, qui n’en a jamais rêvé ? La société Marseillaise Bellatrix l’a fait en créant IWEECH, une marque de "smartbike" où la technologie et l’intelligence artificielle vous facilitent la vie plutôt que la compliquent. La simplicité n’est-elle pas la sophistication ultime comme le déclarait le génial inventeur Léonard de Vinci ?
La demande en vélos électriques explose en Europe et en France. Malgré un réseau cyclable encore sous-développé (mais en constant progrès ces dernières années), c’est encore plus vrai à Marseille où le dénivelé et la chaleur rendent l’assistance électrique d’autant plus précieuse.
C’est dans cette ville et à Saint Barnabé plus précisément que le société Bellatrix a décidé de s’installer afin d’y assembler des vélos différents de ses concurrents du marché.
La marque IWEECH s‘est positionnée sur le secteur du « smartbike », un vélo connecté et parfaitement adapté à la ville pour un usage quotidien.
Comment cela se traduit-il dans le design ? Tout d’abord par un cadre bas accessible aux hommes comme aux femmes, à des roues plus petites (24 pouces seulement) qui rendent le vélo plus maniable et à un empattement réduit qui offre moins d’encombrement dans votre garage ou cave.
D’autres petits détails sont très pratiques comme la potence rotative qui permet de plier le guidon le long du cadre tout comme les pédales. Les phares se déclenchent automatiquement quand la luminosité baisse et un système antivol et de tracking GPS permet de sécuriser et de localiser en temps réel votre vélo en cas de vol.
L’an passé la marque marseillaise a poussé encore plus loin ses recherches et déposé un nouveau brevet où ses algorithmes personnalisent en temps réel l’intensité d’assistance électrique dont le cycliste a besoin et déclenchent automatiquement le juste niveau de rapport de vitesse.
« IWEECH reste avec ce nouveau modèle le seul vélo électrique au monde à utiliser l’intelligence artificielle qui lui permet d’apprendre de chaque parcours pour offrir de manière intuitive, le juste niveau d’assistance à l’utilisateur » déclare Christophe Sauvan.
Pas de compteur ni de passage de vitesse, au guidon vous n’avez plus qu’à pédaler et vous concentrer sur l’essentiel : votre trajet vers le travail ou admirer le paysage si vous êtes en balade.
Nous avons pu tester le dernier modèle et apprécier son couple extraordinaire qui vous font aborder les pentes les plus raides de Marseille comme les meilleurs grimpeurs du tour de France.
L’autonomie aussi est très intéressante : 70 km à pleine puissante et 190 km en mode éco pour faire travailler un minimum les muscles tout en envisageant de très longues balades, jusque dans le Luberon ou la Provence verte par exemple.
Le dessin des deux modèles et les logiciels ont été développés en France et les vélos sont 100% assemblés au sein des ateliers de Saint Barnabé à partir de pièces uniques et déposées, comme le cadre, la potence et la fourche grâce à des composants venant principalement d’Europe (70%) et de Taiwan. Le retour quasi inexistants en SAV depuis deux ans de commercialisation prouve la qualité des vélos pour qui en douterait.
Une série d’accessoires bien pratique est disponible aussi bien pour vous (casque, gilet réfléchissant, sacs, gants) que pour votre monture (porte-bagage avant et arrière, support téléphone, antivols, etc.
Le Petit Plus : Il est possible d’essayer les vélos au siège avant de les acheter en ligne si vous vivez dans la région marseillaise (au siège de l’entreprise à Saint-Barnabé) en prenant rdv sur le site.
Par Eric Foucher