Derrière les façades rétro, les enseignes à l’ancienne et le folklore assumé, ce n’est pas du réchauffé mais une nouvelle génération qui a pris les manettes des établissements les plus atypiques de la ville. La vingtaine, trentaine maxi et des parcours loin des chemins balisés, les néo-commerçants marseillais sont rarement du sérail. A l’inexpérience ils compensent par un goût de l’accueil et un sens du service qu’on ne trouve parfois plus chez les vieux de la vieille, usés par les habitudes, voir blasés de tout. C’est parfois un peu brouillon, plus joli dans le global que dans le détail mais il faut bien se lancer. Eux le font sans préjugé et avec passion. On n’a qu’une vie paraît-il. Eux en sont déjà à la deuxième ou troisième.

Derrière les façades rétro, les enseignes à l’ancienne et le folklore assumé, ce n’est pas du réchauffé mais une nouvelle génération qui a pris les manettes des établissements les plus atypiques de la ville. La vingtaine, trentaine maxi et des parcours loin des chemins balisés, les néo-commerçants marseillais sont rarement du sérail. A l’inexpérience ils compensent
par un goût de l’accueil et un sens du service qu’on ne trouve parfois plus chez les vieux de la vieille, usés
par les habitudes, voir blasés de tout. C’est parfois un peu brouillon, plus joli dans le global que dans le détail
mais il faut bien se lancer. Eux le font sans préjugé et avec passion. On n’a qu’une vie paraît-il. Eux en sont déjà à la deuxième ou troisième.