Si vous n’aimez pas les santons, ces petites figurines d’argile qui font autant partie de la tradition provençale que le pastis et les boules, vous risquez l’overdose. La ville en est la capitale et compte des ateliers d’artisans à chaque coin de rue. S’ils étaient plus nombreux, comme les céramistes, à quitter les sentiers du folklore, on en serait encore plus « ravis ». Mais à l’image du salon Argila et de ce petit musée, l’art santonnier a lentement commencé sa mue. « De Scapinno à Scappin » jusqu’au 1er novembre expose des figurines de la Commedia dell’arte un courant culturel dans lequel Molière, Corneille ou Marivaux ont puisé sans vergogne.
Si vous n’aimez pas les santons, ces petites figurines d’argile qui font autant partie de la tradition provençale que le pastis et les boules, vous risquez l’overdose. La ville en est la capitale et compte des ateliers d’artisans à chaque coin de rue. S’ils étaient plus nombreux, comme les céramistes, à quitter les sentiers du folklore, on en serait encore plus « ravis ». Mais à l’image du salon Argila et de ce petit musée, l’art santonnier a lentement commencé sa mue. « De Scapinno à Scappin » jusqu’au 1er novembre expose des figurines de la Commedia dell’arte un courant culturel dans lequel Molière, Corneille ou Marivaux ont puisé sans vergogne.