L’élégance du costume n’est plus réservée à une élite. Ces tailleurs nouvelle génération vous habillent de pied en cap selon vos goûts et vos couleurs avec des possibilités infinies.
Un costume décontracté pour tous les jours, plus strict pour le boulot ou chic pour une cérémonie? L’idéal dans un vestiaire masculin. Mais jusqu’à maintenant, investir dans plusieurs silhouettes à ses mesures était un luxe accessible à quelques privilégiés seulement. Entre temps, les cabines de mesure 3D comme celle que vous trouverez dans cette enseigne, une des pionnières du genre, sont apparues. Elles permettent en un temps record de prendre 200 mesures sur votre corps afin de modéliser un patronage qui correspond parfaitement à votre physionomie. Cette économie de temps impacte sur le prix puisque c’est maintenant la qualité des tissus, (laine, coton, flanelle, tweed, etc.) et les différentes personnalisations que vous souhaiterez apporter à votre tenue qui détermineront le coût final. En matière de tissus, ce sont les italiens et les anglais qui tiennent toujours le haut du haut du pavé. Vous trouverez ici ceux de Loro Piana, des textiles d’exception fabriqués en Italie depuis six générations, mais aussi ceux de Thomas Mason qui a crée en 1796 l’une des toutes premières usines de tissus en coton ou bien encore Holland & Sherry, la fameuse enseigne de Saville Row à Londres qui habille tous les brokers de la City. Pour les chemises, en plus du tissage et du motif, on vous propose différents types de col. C’est lui qui signera d’ailleurs le style de votre allure selon qu’il est français, anglais, américain, italien ou officier par exemple. Mais la personnalisation va maintenant bien au-delà, puisqu’il vous est possible de choisir aussi la couleur de l’intérieur ou du rabat de col, les pattes de boutonnage, les types de poignets, de boutons ou bien encore vos initiales brodées sur la poche. Enfin vous pourrez apporter la dernière touche avec un large choix de cravates, nœuds pap’, pochette, boutons de manchettes, etc. Si l’habit de fait pas le moine, le costume distingue par contre l’homme de goût du profane « endimanché » (EF)