Beliza est une marque de maillots de bain et beach wear qui s’est fait un nom sur les plus belles plages du monde. Elle ouvre sa première boutique à Marseille pour que vous puissiez faire des ravages sur les rivages.
Née mère arménienne et d’un père français, passionnée de mode et de plongée sous-marine, Lisa Chotard semblait prédestinée pour le voyage. Celui qui forge le caractère et nourrit l’âme. Une école de la vie qui l’a conduit à vivre dans de nombreuses destinations exotiques où elle a pu analyser sous toutes les coutures le business florissant du beach wear.
A son retour d’Égypte, elle décide de donner un nouveau souffle à la marque Beliza (contraction de son prénom et Belize, petit pays d’Amérique centrale), dont la qualité des modèles lui avait déjà offert un beau succès d’estime et ouvert les portes des plus belles boutiques de la Côte.
Diplômée d’un master en marketing de la mode à l’école ESMOD et après être passé par l’univers du luxe (Chloé, Céline), elle veut désormais voir plus loin pour prendre une part d’un créneau encore délaissé: le beau maillot. Dans le langage de la marque traduisez « chic, sexy et confortable » à un prix abordable.
L’ouverture de sa boutique en propre à deux pas du Palais de justice – le quartier des avocat(es) et hommes de loi qui aiment aussi faire tomber l’habit- est le symbole de ce nouveau déploiement. Une première qui en inaugurera sans doute d’autres dans des lieux de la planète où ces petits bouts de tissus font figures d’uniforme (Miami, Ibiza, Mikonos).
Un peu à la façon d’un showroom, cette première boutique permet pour l’heure à la créatrice de tester ses agencements, le retour des client(es) sur les collections et de proposer toute sa gamme de beachwear, d’accessoires. Les tenues de plage sont si élégantes qu’elles permettent de passer de la plage aux soirées sans passer par le dressing.
Dans un décor béton crème minimaliste fait pour mettre en valeur les produits, on y trouve un grand nombre de maillots de bains une pièce et deux pièces fabriqués au Portugal dans de belles matières principalement italiennes. Ils arborent de jolis détails comme ces liens croisés dans le dos inspirés de manchettes, des luxueux empiècements dorés dans les échancrures, des doublures structurées pour davantage de maintien ou bien encore des tissus réversibles pour jouer accords et désaccords.
Des coupes toujours aussi sensuelles, des couleurs et imprimés qui restent sages pour coller au mieux aux goûts de son cœur de cible (les 30-50 ans) pour lequel l’excentricité ne fait pas recette. Un rose malabar offrira néanmoins une alternative à cellez qui ne veulent pas passer inaperçue.
A côté de ces ponchos en crochet, kimonos fleuris et robe de plage au dos nus vertigineux, une collection de boxer pour hommes aux très beaux imprimés permettra également à ces messieurs de conserver décontraction et élégance au restaurant de la plage, en enfilant juste une chemise.
Un premier écrin qui permet de rendre visible l’identité de la marque et qui, on l’espère pour sa créatrice, pourra essaimer aux quatre coins de la planète.
EF.