Avec ce restaurant de poche, téléportez vous dans une rue de Tokyo pour découvrir sa « street Food » aux surprenantes recettes dans un décor imprégné de culture manga
Passionné de culture et de cuisine japonaise, Cristophe Caïola a ouvert la toute première crêperie nippone de la ville. Après quatre années passées en tant que crêpier breton, le temps était venu pour lui d’allier sa passion à son métier. 1 an plus tard, après une formation aux côtés du chef Noriaki Shimbara aka « Shin Shan », il se lance dans la « street-food ». Sa cuisine à consommer sur place ou à emporter, est directement inspirée de celle des milliers de gargotes qui fourmillent dans les rues du Japon et notamment d’Osaka, la capitale culinaire. Ses spécialités sont l’Okonomiyaki (une pâte moelleuse rehaussée de morceaux de choux blanc et garnie au choix de fromage, lard, poulet, crevette, ou poulpe, le tout aspergé d’une sauce okonomi) et le Takoyaki (des bouchées-beignets très populaires, farcis au fromage, poulpe, ou à la crevette et qui se dégustent brûlants). Deux fondamentaux qui à la carte laissent de temps en temps place à quelques surprises, comme le Koroké (croquettes de pommes de terres) ou encore le Shikatsu (brochettes pannées cousines du yakitori). Côté déco et fort de son passé de graphiste Cristophe a voulu reproduire un cadre convivial rappelant l’imagerie pop japonaise, kitsch et colorée, mêlant le manga à la folie « kawaï »(mignon). Seul et en kimono dans l’échoppe, il propose aussi différentes boissons et confiseries directement importées du Japon. Ko-Ishi, c’est l’adresse qui montre aux marseillais qu’il n’y a pas que le sushi au pays du soleil levant ! (N V-F)