De l’ancien couvent ces appartements locatifs ont gardé la blancheur virginale et un silence quasi monacal. Le confort et les équipements ne prêchent quant à eux pas l’austérité.
C’est avec un grand sacerdoce que les propriétaires de cette ancienne fonderie royale du XVIIè siècle, devenue un couvent jésuite par la suite, ont réhabilité l’imposant édifice tombé en disgrâce pour en faire une résidence hôtelière haut de gamme. Quand la lourde porte de bois se referme derrière vous, le tumulte de la place de Lenche voisine et le grouillant quartier du Panier semblent déjà loin. C’est un large escalier où des suspensions design côtoient des photos d’artistes qui vous permet d’accéder à votre nouvelle retraite, l’un des neufs appartements aux dimensions généreuses. Avec des surfaces allant de 35 m2 pour les plus petits à 95 m2 pour les Dupleix, ils seront pour nombreux citadins sans doute plus grands que leur résidence habituelle ! S’il est possible d’y accéder à partir de deux nuits, c’est davantage pour les moyens (une semaine) et longs séjours qu’ils seront appréciés avec leur cuisine toute équipée et leur coin séjour dans lequel la bibliothèque n’a pas manqué d’être garnie par les maîtres des lieux, passionnés de littérature. leur position centrale à deux pas du Vieux Port et des nouveaux musées du J4 (MuCem, Villa, Méditerranée et Fondation regards de Provence) en feront l’étape idéale pour les amateurs d’art et les touristes d’affaires à la recherche d’une villégiature confortable et d’une paix royale.