A la fin du XIX et du début du XX siècle, l'Art nouveau s'appuie sur l'esthétique des lignes courbes et réintroduit la symbolique de la nature au centre de nos villes.
L’Art Nouveau a laissé peu de traces à Marseille. Tout juste compte-t-on quelques édifices dont les arabesques et l’inspiration végétale s’opposaient à l’industrialisation à outrance et la reproduction sclérosée version Haussman. Outre cet ancien siège de la Banque des Comores et de Madagascar transformé en cinéma, le boulevard du Prado possède un autre hôtel particulier Art Nouveau avec une fresque peinte typique de l’époque au n° 135. Il date de 1910 et est attribué à Charles Héraud.
>> PAUL MOUREN