En installant trois formes peintes monumentales sur le toit de la Cité radieuse, cette petite ville qui regarde la grande depuis 1952, Felice Varini (cf. agenda) s’est affranchi du dilemme posé à tout journaliste avec son article, à tout artiste avec son cartel : quel angle donner à mon papier, comment l’oeuvre doit-elle être comprise? Car si chacune des installations trouve une cohérence depuis un point unique qu’il vous faut trouver, le travail de l’artiste suisse repose dans l’ensemble des points de vue que le spectateur peut avoir sur lui. Nul besoin de décodeur donc pour résoudre l’anamorphose puisqu’il existe autant d’oeuvres que de regards posés sur elle. Il en va de même des adresses que nous vous recommandons et que chacun verra selon sa propre perspective.
En installant trois formes peintes monumentales sur le toit de la Cité radieuse, cette petite ville qui regarde la grande depuis 1952, Felice Varini (cf. agenda) s’est affranchi du dilemme posé à tout journaliste avec son article, à tout artiste avec son cartel : quel angle donner à mon papier, comment l’oeuvre doit-elle être comprise? Car si chacune des installations trouve une cohérence depuis un point unique qu’il vous faut trouver, le travail de l’artiste suisse repose dans l’ensemble des points de vue que le spectateur peut avoir sur lui. Nul besoin de décodeur donc pour résoudre l’anamorphose puisqu’il existe autant d’oeuvres que de regards posés sur elle. Il en va de même des adresses que nous vous recommandons et que
chacun verra selon sa propre perspective.