Ca va trop vite, ça change tout le temps. Les fils d’actu assomment nos cerveaux d’infos aussi vaines qu’inutiles. Leur hiérarchie n’est plus calculée par rapport à leur intérêt mais pour leur potentiel d’audience par des algorithmes qui dissèquent de plus en plus précisément nos habitudes et nos comportements. Le « temps de cerveau disponible » que l’on s’offusquait hier de vendre aux industriels est devenu une réalité beaucoup plus sournoise aujourd’hui où toute sorte de propagande est maquillée en divertissement et en notions de progrès. Pour s’exercer, notre libre arbitre à besoin de s’isoler, de prendre le temps nécessaire à la réflexion. Encore minoritaires, les mouvements prônant d’enrayer cette course frénétique vers la performance pour aller vers plus de bien-être gagnent du terrain. Et si le temps de vivre se dansait en mode slow ?
Ca va trop vite, ça change tout le temps.
Les fils d’actu assomment nos cerveaux d’infos aussi vaines qu’inutiles.
Leur hiérarchie n’est plus calculée par rapport à leur intérêt mais pour leur potentiel d’audience par des algorithmes qui dissèquent de plus en plus précisément nos habitudes et nos comportements.
Le « temps de cerveau disponible » que l’on s’offusquait hier de vendre aux industriels est devenu une réalité beaucoup plus sournoise aujourd’hui où toute sorte de propagande est maquillée en divertissement et en notions de progrès. Pour s’exercer, notre libre arbitre à besoin de s’isoler, de prendre le temps nécessaire à la réflexion.
Encore minoritaires, les mouvements prônant d’enrayer cette course frénétique vers la performance pour aller vers plus de bien-être gagnent du terrain.
Et si le temps de vivre se dansait en mode slow ?