Nichée à l’étage d’un élégant immeuble de la rue Montgrand, la Maison Joà, nouvel espace de co-thérapie imaginé par Valexia Salvador, vient transformer la manière dont thérapeutes et patients se rencontrent. Ici, on soigne autant le corps que l’esprit, dans un lieu pensé comme un cocon, loin des codes froids du paramédical.
Un lieu de co-thérapie pensé pour le bien-être global
Plus qu’un espace de soins, Maison Joà est une maison de vie et d’énergie positive.
L’idée ? Permettre à chaque thérapeute (sophrologue, ostéopathe, kinésiologue, réflexologue, naturopathe ou sexologue) d’exercer librement, sans contrainte de lieu ni d’horaire.
Ouvert 7 jours sur 7, de 8h à 21h, l’endroit offre des cabines équipées, louables à l’heure ou à la journée, avec un système de réservation et de serrure connectée. Cette flexibilité, inédite à Marseille, répond à un besoin réel : « La conjoncture rend difficile l’accès à un local fixe. Ici, les thérapeutes peuvent pratiquer dans un environnement chaleureux, tout en créant une véritable synergie entre eux », explique Valexia.
En quelques semaines, une communauté d’une quinzaine de praticiens s’est déjà formée, favorisant les échanges et les recommandations croisées : un patient orienté pour un massage peut trouver sur place une sophrologue, un naturopathe ou un praticien en rééquilibrage alimentaire.
Un cocon doux et inclusif, pour toutes les vies et tous les âges
Pensée comme une cocon apaisant, Maison Joà rompt avec les codes froids du paramédical.
Lumière douce, mobilier chaleureux, ambiance feutrée : tout invite à la détente et à la confiance.
L’approche se veut inclusive et globale : soins pour bébés, enfants, parents ou seniors, cercles de parole pour adolescents ou jeunes mamans, réflexologie, massages, accompagnement émotionnel… « On veut répondre à chaque instant de vie », souligne Valexia Salvador.
Fidèle à son parcours dans le sport de haut niveau, la fondatrice reste convaincue que l’équilibre entre le corps et l’esprit est la clé du bien-être. « Ce projet me permet de me sentir utile, de mettre en lumière ceux qui nous aident à aller mieux », confie-t-elle.
Par Eric Foucher / Photos E.F et Maison Joà






